Fic "Je reviendrai, je vous le promet."

Bonjours tout le monde ! C'est bientôt la rentrée ! Pour certain se sera l'occasion de s'amuser et de retrouver des amis et pour d'autre ça annoncera le début des examens mais nous aurons tous quelques choses en commun : des résolutions. Allez, je vous met un autre chapitre. Bonne lecture.

Chapitre 7 : Une menace…

…

« Cela fait déjà 4 mois…comme le temps passe vite……Bientôt se sera échec et mat pour Circus… Je n’attend que ça… »

Cet homme dans l’ombre fit un un sourire machiavélique qui aurait fait glacé n’importe quelle personne et justement celui-ci fit frissonner ses 2 subordonnés qui étaient avec lui ainsi que son interlocuteur.

Cet homme avait le regard mauvais et cruel mais ne fit rien paraître auprès de son invité et lui adressa la parole.

- Alors, avez-vous les échantillons ?

- Oui comme prévu. Et vous, vous-avez l’argent.

- Absolument. L’homme fit claquer ses doigts et un de ses subordonnés, nommé  Kiharu, ouvra alors une grosse mallette noire où il y avait de nombreux billets de banque dedans. Cela vous convient-il Monsieur ?

- J’espère pour vous que se ne sont pas des faux.

- N’ayez aucune crainte se ne sont pas des faux…mais à votre place…je ne devrais pas faire de conclusions trop actives, si vous voyez ce que je veux dire. Il fit un signe de la main et Kiharu et son camarade Kagiri sortirent leur armes tels que des pistolets et d’étranges gadgets ( des gadgets de l’invention de Kagiri ) mais surtout, ils avaient pris une expression non humaine sur leur visages, une  drôle de lueur étaient dans leurs yeux, surtout chez ceux de Kiharu ce qui à eu pour effets de terrifier l’interlocuteur de leur patron.

- O-oui, d-désolé d’avoir douté de vous… Tenez, les échantillons sont à vous. Il tendit une mallette grise à l’homme démoniaque et celui-ci, une fois la mallette en main, l’ouvrit et constata que les échantillons qu’il avait demandé étaient tous là contenue dans des fioles plus ou moins suspectes pour des récipients et il referma la mallette et la donna à Kagiri.

- Je vois qu’on peut faire de bonne affaire avec vous…Mais soyons clair, cet échange n’a jamais eu lieu, nous nous connaissons pas, es-ce clair. Le roux foudroya son vendeur avec ses yeux brun rouge sang.

- O-oui oui, bien sûr. ça restera entre nous. L’homme a des sueurs froides et a envie de fuir celui qui est devant lui. 

- Bien. Vous pouvez partir.

- M-merci, au-au revoir.

L’homme tourna le dos à ses acheteurs et s’en alla avec son argent d’un pas rapide mais il s’arrêta…Il avait entendu une détonation d’une arme à feu qui venait de derrière lui…Il comprit et ressentit une douleur violente au niveau de sa poitrine avant de succomber au sommeil éternel sur son propre sang qui gisait sur le sol.

Celui qui avait tiré était l’homme malveillant aux cheveux roux et long attaché par une queue de cheval avec les yeux brun rouge impitoyables et cruels. Il avait tiré sans retenu et sans pitié dans le dos de son visiteur ne le laissant aucune chance.

- Uro-san, vous êtes allez un peu fort quand même. Se n’était pas la peine de le tuer.

- Je ne peux me permettre de courir d’autre risques qui pourraient me trahir, je préfère effacer les preuves à ma manière.

- Si-si vous le dite Uro-san.

- Mon plan pour détruire le premier et le second vaisseaux de Circus est en marche et je ne voudrais pas qu’une toute petite preuve gâche tout mon loisir.

- C’est une sorte de vengeance envers les membres de Circus qui vous ont défiés il y a delà 4 mois, n’es-ce pas ?

- C’est exacte et l’étincelle de cette splendide bombe est une fabuleuse boule de neige. Uro fait un sourire terrifiant et malhonnête.

- Moi j’aime bien les vengeances, en tout cas j’ai un compte à rendre à certaines personnes pas toi Kagiri.

- Effectivement, nous avons des comptes à rendre mais Uro-san, je ne voit pas de rapport avec vôtre plan et une boule de neige.

- Il n’y a rien à comprendre… Vous verrez bien le moment venu mais tout ce que je peux vous dire c’est que cette boule de neige va être l’appât et assura la mort des membres de Circus.

On entendit un rire diabolique plein de cruauté et de froideur qui parcourut toute les ruelles du milieu inhabité et peint dans la noirceur des ténèbres et de la nuit sombre.

...